commentaires sur 10 astuces pour gérer les crises des enfants

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Dix astuces pour gérer les crises des enfants… oui, là tu rêves… GERER une CRISE.
C’est juste deux antagonistes qu’on rêve de rapprocher.
C’est juste le jour et la nuit, la guerre et la paix…
Surtout quand t’es en caisse de supermarché et que ton mini hurle à la mort pour des Palmito ou les purées de bonbons en tête de gondole. Foutue tête de gondole…
Enfin bref, du coup, j’ai adoré cet article écrit par un PAPA (dont j’adore son blog)…
Et, je te commente en rouge (je me prends pour une prof)  le copié collé que j’ai fait de son article, que tu peux découvrir via son blog  avec le lien ci dessus. C’est pas du plagiat, de la copie ou je sais pas quoi, mais juste des commentaires perso, parce que j’ai toujours rêvé de faire ça …

TOP 1 | Ne cédez pas (mouais ça c’est vite dit)

Confrontés aux crises des enfants, les parents ont parfois tendance à
céder, de fatigue, par usure, lassitude, ou énervement… (surtout pour ne pas mourir de honte) S’il faut
garder à l’esprit que personne n’est infaillible (ça c’est certain), un enfant peut aussi
déduire de votre attitude qu’une colère est un atout pour lui permettre
d’obtenir ce qu’il veut(dès la maternité ils savent nous mener par le bout du nez). Du coup, mieux vaut le laisser exprimer
bruyamment ses frustrations que de lui montrer qu’il peut tout obtenir
grâce à une colère.(aux yeux de tous… )

Je sens venir la crise je dégaine l’arme ultime: mon smartphone … j’ai téléchargé moult appli pour bébé…  ou je sors de mon sac une feuille et un stylo ça marche aussi… Quand il hurle, je fais en sorte que ça s’arrête, et parfois je cède, monsieur Patate numéro 2 est arrivé comme ça chez moi.

TOP 2 | Oubliez le regard des autres (mouais c’est facile à dire)

Parfois, votre enfant peut se mettre en colère dans des endroits
improbables : la rue, les magasins, le restaurant… Il faut bien
reconnaître que ces situations mettent dans l’embarras la plupart des
jeunes parents. Dans ces moments-là, oubliez (mais bien sur) le regard des autres pour
faire ce qui vous semble juste et nécessaire( le bâillonner c’est juste ou nécessaire? ). Ne vous sentez pas
coupable, c’est vous qui avez les commandes(mais bien sur et la marmotte elle met le papier dans le chocolat). D’ailleurs, la plupart des
personnes présentes devrait logiquement parfaitement comprendre ce que
vous êtes en train de vivre. (ai entendu à IKEA TOULOUSE, quand mon grand de 22 mois à l’époque hurlait « moi, un gosse comme ça, je le fouette ou je me pends » la pétasse qui a osé n’a sans doute pas eu d’enfant fatigué …)

TOP 3 | Tentez l’apaisement

Quand votre enfant est en colère, commencez par tenter de l’apaiser (bah ça c’est certain, on va pas le fouetter sur place),
en essayant de l’aider à retrouver son calme (je comprends mieux la chanson de Zazie « zen soyons zen ». Votre présence à ses
côtés, une main que vous posez sur ses cheveux, une caresse appuyée,
quelques mots doux, peuvent lui permettre d’y parvenir. A vous de
découvrir ces petits trucs qui lui permettront de mettre un terme à la
crise. Vous pourrez ensuite enclencher le dialogue.  (Dialoguer quand il parle oui, mais sinon, tu  peux courir)

TOP 4 | Faites preuve de patience (1 h qu’il pleurs, je fais comment?)

Pas la peine de vous énerver (facile à dire)si vous constatez que votre enfant ne
s’apaise pas. Au contraire. Faites preuve de patience(j’ai pris de cours de patience avec un maître: mon homme ), maîtrisez vos
propres émotions (non, j’ai bien envie de me rouler par terre moi aussi, de jeter ma tutu et de hurler), et évitez de vous emporter inconsidérément (comment ça, hurler au milieu du restaurant ça fait tache?). La fermeté
n’implique pas hurlement et violence (heureusement hein sinon j’irai voir Monsieur Grey pour prendre des cours). Parfois, il suffit de s’éloigner
pour retrouver une sérénité essentielle (ouhhhhaaaaa la sérénité essentielle je kiffe) à un dialogue constructif.

TOP 5 | Isolez votre enfant

Si sa colère est trop profonde, proposez-lui de l’installer dans un
endroit calme (aux chiottes ça marche bien) et rassurant pour qu’il puisse évacuer ses émotions (aux chiottes je t’ai dit ça aide à »evacuer », )
quitte à le laisser se défouler en balançant un ou deux jouets à travers
la pièce (ou la fourchette dans la tête de son frère). Prenez soin de ne pas laisser à portée de main des objets
avec lesquels il pourrait se faire mal et sortez provisoirement de la
pièce si vous constatez que votre présence nourrit la crise. Très facile, cherches bien,  le coin sombre au fond du magasin, ou les wc dans la salle d’attente du toubib…

TOP 6 |Engagez le dialogue

Une fois que votre enfant se montre disponible, revenez à ses côtés
pour le couvrir d’une tendresse rassurante (tendresse rassurante?.. tu veux m’emmener où là mec?…  ). Après un gros chagrin, un
câlin aide souvent à retrouver ses esprits. C’est le préalable
indispensable pour engager le dialogue. (quand le gosse parle hein, parce que sinon… t’explique juste gentillement la situation… )Ensemble, vous pourrez alors
discuter des causes de sa colère, de ses émotions et de la manière dont
il a réussi à sortir de la crise. (mon fils je suis fière de toi, t’as pleuré, t’as hurlé, c’était topissime en public, et j’aime que ta colère se soit apaisée, et la manière dont tu as stoppé net une fois que j’ai mis dans tes mains l’objet de ton désir… )

TOP 7 | Passez à autre chose

Si le dialogue est essentiel, ne restez pas trop longtemps sur le
sujet de crispation. Une fois que vous en avez parlé, que vous avez
affirmé comprendre sa frustration et que vous lui avez expliqué les
raisons de votre position, passez à autre chose. bah, vaut mieux hein… parler 3 heures du pipi au sol car monsieur n’a pas voulu aller sur le pot, c’est pas positif… j’en conviens !!!

TOP 8 | Négociez (quand c’est possible)

Ne confondez pas fermeté et intransigeance. (ah beh non c’est sur) Laissez tomber vos grands
principes (c’est fait depuis la première nuit, où mon fils n’a pas fermé l’oeil, la toute première où il m’a regardé droit dans les yeux), et préférez les règles qui s’adaptent aux contextes. Vous
vous sentirez moins coupable (pourquoi coupable?), sans pour autant perdre le contrôle de la
situation… (eh mec, on perd pas le contrôle du véhicule, ah pardon, de la situation) Et si tout n’est pas négociable, n’oubliez pas que certaines
choses peuvent parfois l’être, en fonction du moment. Alors si
aujourd’hui, votre môme préfère son pull bleu à celui que vous vous
acharnez à lui enfiler, pourquoi ne pas l’écouter ? Moui et moi si je veux qu’il porte le pull de tata Thérése? … non mais sérieux, pour moi le pull bleu au lieu d’un autre, c’est un caprice pas une crise. Et ça se gère différemment et là, on y met fermeté. Mon gosse s’en fiche pour l’instant. Mais je lui fais choisir entre un truc et un autre truc ça lui fait comprendre la notion de choix…

TOP 9 | lâcher prise

Il arrive parfois que certaines situations dans lesquelles votre
enfant vous conduit ne comportent pas de solution. Dans ce cas-là, le
conflit risque de s’enliser. (purée c’est dans le top 9 que tu dis ça) Si après colère et dialogue, votre môme ne
veut toujours pas manger par exemple, (chez moi pas de conflit à table, il mange ok, il mange pas, pas grave… c’est ma seule et unique base, sinon ce serait l’enfer) vous n’allez quand même pas le
gaver comme une oie ? C’est dans ce genre de situations qu’il faut parfois savoir lâcher prise, en l’affirmant clairement : « Tant pis, je ne peux pas te forcer à manger de toute façon. Si tu ne veux pas manger, ne mange pas. »
Et vous verrez que souvent, ce que vous prenez pour un échec cuisant
s’avèrera être la meilleure des leçons pour votre enfant, qui,
contrairement à ce que vous pouvez penser, vous écoute bien davantage
que son attitude ne le suggère parfois. 

TOP 10 | Ne vous sacrifiez pas

Qui vous a dit que devenir parents revenait à sacrifier sa vie pour
ses enfants ? Pour prendre soin de ses mômes, il faut aussi savoir
prendre soin de soi (hahhhhaahhhha c’est bien une réflexion d’homme). Faites du sport, passez du temps avec vos amis (des amis, quels amis?!),
retrouvez-vous en amoureux (entre deux vomitos ou deux réveils nocturne c’est cool), voyagez, lisez (ai toujours pas terminé le bouquin attaqué à la mater pour le premier… lire? un rêve.. ma priorité prendre un bain et non une douche d’une minute trente), bref ne lâchez pas tout ce
qui pimentait votre vie avant que vous ne deveniez parents. Plus vous
vous sentirez épanoui, plus vous serez réceptif aux besoins et aux
attentes de vos enfants.
Attention : ne vous méprenez pas, cet article n’offre pas de
solutions magiques (ah purée le titre est pur appel à lecture, je me suis fais eu…) pour gérer les crises des enfants. Il ne s’agit ni
d’une recette ni d’un mode d’emploi. Chaque situation est unique et
appelle une réponse unique.(et pourtant tous les enfants font des crises au supermarché c’est pas unique) Certaines des idées évoquées ci-dessus
fonctionneront parfois, pour s’avérer inefficaces à d’autres moments.
Laissez-vous le droit d’échouer, sans culpabiliser, pour mieux réussir
la fois prochaine.

En gros l’article est bon voir très bon… mais c’est comme tout droit sorti d’un livre et on voit bien l’influence de l’homme, qui n’a pas du tout la même vision de gestion de crise de la femme (parait que les hommes viennent de Mars et la femme de Venus)…

Dans la réalité vraie, t’as juste envie de courir dans le champs d’à côté (clin d’oeil à Maeva de Rêve de Bulles) pour exorciser ta colère .  Essaie tu verras ça fait du bien…

J’aime Maria Montessori comme tu le sais, et elle préconise  face aux colères d’isoler immédiatement l’enfant, calmement et sans le ridiculiser. Mais surtout d’éviter les lieux à risques…  et moi franchement ça me va.

Mon truc en plus, si ça peut t’aider, c’est justement d’être avec cher et tendre et de prendre 2 caddies au magasin, comme ça en cas de crise, on peut se séparer et continuer, jusqu’à ce que la crise se termine. ISOLER, et ignorer en quelque sorte ou plutôt éviter les zones de conflits..

Alors moi je te dis, que les crises, t’en auras quoiqu’il arrive, des hurlements dans les supermarchés, dans les salles d’attentes, chez le coiffeur, à table, devant la tv etc… quoiqu’il arrive ça arrive,  c’est normal c’est que t’as un gosse. Et celles et ceux qui te disent « moi à ta place »… tu t’en fiches. Le « moi a ta place » c’est juste pour oublier qu’ON est pas ‘encore’ pour certain à notre place…  ou qu’ON l’a été, et qu’ON a mal réagi.

Je ne culpabilise pas d’avoir mon môme qui hurle, mais si je cède, je ne culpabilise pas non plus, parce qu’au moins, mes oreilles et celles de mon entourage n’auront plus mal et mon gosse ne souffrira plus . Si cela fait de moi une mauvaise mère, tant pis J’ASSUME.

et toi c’est quoi ta solution miracle? oui parce que soyons réaliste, 10 astuces ok, mais pas de solution…

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